Sténographiquement vôtre: 2014

vendredi 26 décembre 2014

= La parole remet la pensée en sensation.

= L'habitude est d'abord comme un fil d'araignée, une fois prise elle est plus solide qu'une corde.

= L'automne est une demeure d'or et de pluie.

= Les problèmes ont ceci d'agréable qu'ils n'existent souvent qu'en imagination.

= C'est dans le coeur de l'homme qu'est le spectacle de la nature, pour le voir il faut le sentir.

= Si vite que court le mensonge, la vérité un jour le rejoint.

= Le seul véritable voyage ne serait pas d'aller vers de nouveau paysage, mais d'avoir d'autres yeux.

= Le temps ferme toutes les blessures, même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices.

= Les déceptions ne tuent pas et les espérances font vivre.

= Je ne suis pas superstitieux, ça porte malheur.

= Le plus nécessaire et le plus difficile dans la musique, c'est le tempo.

= Le hasard, c'est peut-être le pseudonyme de Dieu quand il ne veut pas signer.

= La critique est aisée, l'art est difficile.

= Il en est du bonheur comme des montres, les moins compliquées sont celles qui se dérangent le moins.

= Qui sait si cette moitié de la vie où nous pensons veiller n'est pas un autre sommeil un peu différent du premier.

= la liberté, c'est la faculté de choisir ses contraintes.

= Vous ne donnez que peu lorsque vous donnez de vos biens, c'est lorsque vous donnez de vous-même que vous donnez réellement.